RDC : ces ‘’arriérés’’ de salaire inimaginables pour financer la rébellion de Corneille Nangaa !

Par Reporter.cd

« L’argent est le nerf de la guerre ». Cet adage est toujours d’actualité. Depuis l’investiture du Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi Tshilombo ainsi que la mise en place d’un nouveau Gouvernement, quelques ennemis de la République veulent à tout prix déstabiliser la patrie de Lumumba-Mzee. L’heure est donc arrivée de redoubler d’efforts pour mettre hors d’état de nuire ces inciviques.

En effet, un groupe de gens, conduit par un ancien membre de la plénière de la CENI, Gustave OMBA BIDIMONO, réputé proche de Corneille Nangaa, s’est lancé dans une mésaventure inespérée et dangereuse, en voulant duper et salir gratuitement l’actuelle administration de la CENI ainsi que son Président Denis KADIMA, véritable artisan de l’organisation des élections crédibles et transparentes en RDC. D’après des informations dignes de foi, ces personnes sont à la recherche d’argent en vue de soutenir leur mentor qui s’est allié à plusieurs mouvements rebelles, dont le M23 pour déstabiliser les Institutions du pays.

L’Alliance Fleuve Congo (AFC), mouvement rebelle que chapeaute l’ancien numéro un de la centrale électorale, a utilisé quelques affidés basés à Kinshasa, pour monter un dossier de toutes pièces sur un prétendu arriéré de salaire des anciens membres des cabinets et agents de la CENI alors que ceux-ci ont été déjà payés. Ces gens sont allés plus loin dans leur démarche, en accusant gratuitement le Chef de l’Etat Félix TSHISEKEDI, l’ancien ministre de finances Nicolas KAZADI, l’ancien ministre du budget, Aimé BOJI et Denis KADIMA

Vérité !

La vérité finit par triompher. Aux dernières nouvelles, concernant les arriérés de 2019, les membres sortant reconnaissaient avoir perçu l’entièreté du montant. Les indemnités de sortie « légale » ont été payées en 2022. A présent, Sieur Gustave OMBA demande un ajustement de taux, une sollicitation qui ne peut faire l’objet que de l’appréciation du Gouvernement dont le fondement reste discutable à la différence des arriérés de 2019.

À tout dire, le Gouvernement et la CENI ne leur doivent rien. Il y a lieu alors de craindre la motivation et la malveillance animée par ces partisans de Corneille NANGAA qui accusent à tort les responsables des institutions du pays. Les services doivent ouvrir l’oeil et le bon.

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