Par Siméon Isako
La campagne de diabolisation et d’intoxication contre le DG de la Direction Générale des Impôts Barnabé Muakadi, se poursuit avec vivacité. Cette campagne initiée par les détracteurs les plus farouches de Monsieur Muakadi, ceux-là qui militent contre les réformes salutaires instaurées à la DGI et qui grincent les dents face aux multiples records en termes de mobilisation des recettes sous Barnabé Muakadi, vise une seule chose : la déstabilisation de la DGI dans le but de fragiliser le Trésor public car cette régie financière contribue désormais sérieusement dans les caisses de l’État depuis l’entrée en fonction de Barnabé Muakadi.
Les chiffres réalisés et prouvés par les rapports de la Banque centrale du Congo et du Ministère des Finances font foi.
Barnabé Muakadi, résolument engagé dans la vision du Chef de l’État, a effectivement et légalement mis en place des réformes qui vont notamment conduire à la mise à la retraite de 2500 agents de la DGI. Mais en aucune manière il les a remplacés ou pense les remplacer par les fidèles de son Église.
Ces fameuses accusations portant sur le remplacement sur le fait que ces postes libérés seront occupés par les fidèles de l’Eglise du Directeur Général de la DGI, qui est également Pasteur, sont infondées et n’ont aucun soubassement. Et jusqu’à preuve du contraire aucune preuve ne les atteste.
Face au désespoir engendré par l’efficacité dans l’action de Barnabé Muakadi, ses détracteurs inventent dorénavant des accusations pour ternir l’image de ce digne fils du pays. Sauf qu’ils n’auront que leurs yeux pour pleurer, la DGI est sur les rails des réformes plus rigoureuses qui vont la moderniser davantage et ce, pour le bonheur du peuple Congolais dans son ensemble.