Par la rédaction
En pleine période de négociations internationales sur l’exploitation des ressources naturelles de la République Démocratique du Congo, le Président Félix Tshisekedi a réitéré avec force son refus catégorique de céder les richesses du pays.
À l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, le Chef de l’État a prononcé une déclaration solennelle, affirmant : « Jamais, mais au grand jamais, je ne braderai les richesses de la RDC ». Il a souligné que la souveraineté nationale est un principe non négociable et a dénoncé les pressions extérieures croissantes exercées sur les ressources du pays.
Tshisekedi a également mis en garde contre toute tentative de manipulation dans le cadre des négociations en cours, appelant à une mobilisation nationale pour protéger les intérêts stratégiques de la RDC. « Nous devons prendre notre destin en main », a-t-il insisté.
Cette déclaration intervient dans un contexte de fortes tensions géopolitiques et de convoitises accrues pour les minerais stratégiques de la RDC, tels que le cobalt et le cuivre, essentiels à l’économie mondiale. La position ferme du Président Tshisekedi vise à affirmer la volonté du pays de tirer un meilleur profit de ses ressources au bénéfice de la population congolaise.
Selon les analystes, cette posture pourrait avoir un impact significatif sur les futures relations entre la RDC et ses partenaires internationaux. Elle est également perçue comme un appel à l’unité nationale autour de la défense du patrimoine commun.
En réaffirmant sa détermination, le Président Tshisekedi envoie un message clair : les ressources naturelles de la RDC ne sont pas négociables et leur protection demeure une priorité absolue de son mandat.













