Conseil Economique et Social : Un conglomérat de détourneurs se victimise et diabolise à tort le Président Jean Pierre Kiwakana

Par Reporter.cd

Le changement est un processus qui exige beaucoup de sacrifices. C’est un pas vers la résilience, l’abandon des habitudes d’antan qui retiennent dans le joug de la médiocrité, pour de nouvelles perspectives. C’est une poussée vers l’amélioration et le progrès, vers la liberté, au vrai sens du mot.

Et quand le changement se met en branle, il y a presque toujours une frange rétrograde qui s’y oppose. Cela est bien connu. Cette situation s’observe de façon quasi-permanente au sein de la classe politique congolaise mais dans plusieurs institutions dont le Conseil économique et social. Alors qu’une tendance clairement progressiste, portée par le président Jean Pierre Kiwakana, ne jure que par une démocratie consolidée d’une approche de gouvernance moderne, l’autre pan tient à demeurer dans des pratiques décriées, honnies.

Habitué à orienter à des détournements et corruption, ce groupe des conseillers de la République et certains agents de l’administration de cet organe consultatif de la RDC, ayant longtemps évolué dans des pratiques décriées par la loi, tente de recycler ses vieilles méthodes surannées avec l’actuelle administration au conseil économique et social , (CES). Comble de malheur, ces nostalgiques sont principalement les anciens questeurs chassés pour détournement ont réussi à rameuter quelques agents et conseillers de la République dans leur tentative de captation de diabolisation du président de cet organe , Jean Pierre Kiwakana.

En ligne de mire de ce cénacle: Jean Pierre Kiwakana, patron du CES qu’il faut absolument soumettre. Il va sans dire qu’une «bataille rangée» s’observe depuis. D’un côté, les partisans du respect des textes et de l’autre, les maîtres-chanteurs. Cette situation a fini par installer un climat entre ceux qui veulent des bonnes pratiques d’un côté et de l’autre ceux qui persistent dans le mal.

Des Questeurs detourneurs

Poursuivis pour faux et usage de faux et détournement des deniers publics par le parquet près la Cour d’appel de Kinshasa Gombe, Nyembwe Mushiya Claudine, Bamfumu Ikumba Baflow, et Woyie Rigobert, anciens conseillers au Conseil économique et social, engagent désormais une lutte sans merci contre le président de cette institution d’appui à la démocratie, Jean-Pierre Kiwakana.

Ces plaisantins accusent faussement Jean-Pierre Kiwakana de régner en maître seul à la tête du Conseil économique et social sans tenir compte des avis des autres. Les arguments que les avertis qualifient de faux-fuyant, étant donné que le président du Conseil économique et social a hissé cette institution au rang de la bonne gouvernance et de lutte contre le détournement et autres antivaleurs et surtout cet organe a déjà produit des innombrables avis et ou conseils aux différentes institutions du pays.

Des conseillers révoqués selon la loi

Ces détourneurs se victimisent et diabolisent à tort le président Jean-Pierre Kiwakana de les avoir remplacés irrégulièrement. Pourtant l’Article 13 de la loi organique portant fonctionnement du CES stipule les raisons qui concourent à la perte du mandat de conseiller. «La fonction de Conseiller prend fin par…acceptation d’une fonction incompatible avec le mandat de Conseiller; condamnation irrévocable à une peine de servitude pénale principale pour infraction intentionnelle».

En sus, ces hors-la-loi ont perdu leur mandat étant donné qu’ils ont concouru à la députation pour les uns, et ont fui la capitale pour les autres par crainte d’être pris par la justice qui est à leurs trousses pour détournement et usage de faux.

Pour se conformer à la loi, notamment le dernier alinéa de l’article 13 de la loi précitée qui stipule que «La révocation du mandat d’un Conseiller est décidée à la majorité des deux tiers des membres de l’Assemblée Générale. Elle est sanctionnée par Ordonnance du Président de la République», le Président Jean-Pierre Kiwakana a laissé la plénière décider souverainement sans interférer.

Voilà ce que cette racaille comprend au travers, pourtant cette mesure est renforcée par l’article 14 de la même loi qui insinue que «un membre du Conseil qui perd son mandat conformément à l’article 13 ci-dessus, est remplacé pour la période restante de son mandat et selon les modalités prévues à l’article 8 de la présente Loi».

Kiwakana , sa touche et ses valeurs

Résolu, de pousser sans relâche dans sa logique de faire afin de faire du Conseil économique et social, une référence lorsqu’il s’agit de prodiguer des conseils aux dirigeants et décideurs du pays, Jean Pierre Kiwakana, n’entend pas laisser le champ libre à tous ceux, qui penseront qu’il faut se servir des deniers publics pour s’enrichir. Cet homme qui met son expérience, sagesse et intelligence au profit de cet organe et pour l’intérêt des générations à venir, tient à servir de modèle durant son passage comme président de cet organe consultatif.

Pour rappel, le Conseil économique et social a pour mission de donner des avis consultatifs sur les questions économiques et sociales lui soumises par le président de la République, l’Assemblée nationale, le Sénat et le gouvernement.

Somme toute, depuis sa mise en place en 2013, le Conseil économique et social de la RDC a émis déjà plusieurs avis grâce au dynamisme de son président Jean-Pierre Kiwakana et l’accompagnement des autres conseillers de la République.

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