Il fallait bien qu’à un moment, le masque tombe.
Ce que certains appellent aujourd’hui plateforme politique d’opposition n’est rien d’autre qu’un conglomérat de la honte, un holding du chaos dont les actionnaires principaux s’appellent RDF, M23, AFC et Sauvons le Congo.
Un cartel hybride où les anciens gestionnaires de l’État, frustrés par leur mise à l’écart du pouvoir, pactisent sans scrupule avec les agresseurs de la République.
Car après avoir échoué à faire pâlir l’action du Chef de l’État lors de la dissolution de la coalition FCC-CACH, le Front Commun pour le Congo (FCC) n’a pas tardé à révéler sa vraie nature : celle d’un groupe nostalgique, rancunier et prêt à toutes les compromissions pour reconquérir le pouvoir, même au prix du sang congolais.
De la rancune à la trahison.
La chute du FCC n’a jamais été digérée.
Humilié par la clairvoyance politique du Président Félix Tshisekedi qui, dans un élan d’audace républicaine, a mis fin à la tutelle de l’ancien régime, le FCC a choisi la revanche plutôt que la repentance.
D’abord, il a tenté de miner l’action du Chef de l’État de l’intérieur, en sabotant les réformes, en entretenant la confusion et en pariant sur l’échec de l’Union Sacrée.
Mais le peuple, fidèle à sa foi en l’avenir, a renouvelé sa confiance à Félix Tshisekedi, infligeant une seconde défaite cinglante à ceux qui croyaient encore pouvoir manipuler la République à distance.
Dès lors, l’ennemi d’hier est devenu l’allié du jour : Kigali.
C’est au moment précis où le Rwanda lançait son agression contre la RDC, via ses supplétifs du RDF-M23-AFC, que le FCC a vu l’opportunité d’une revanche par procuration.
En silence, les anciens stratèges du système Kabila ont choisi de rallier le plan rwandais, dans l’espoir morbide qu’un pays affaibli militairement et politiquement leur ouvre la porte d’un retour au pouvoir.
Les six plans du chaos:
Le holding du chaos n’est pas né d’un jour. Il s’est construit autour de six séquences de déstabilisation coordonnées, toutes vouées à l’échec grâce à la lucidité du Chef de l’État et à la vigilance du peuple congolais.
- Le sabordage du plan de relance:
Le premier acte fut interne : saboter le plan de relance du Chef de l’État à travers la coalition FCC-CACH.
En s’opposant systématiquement aux réformes, le FCC espérait provoquer l’échec du mandat présidentiel.
Résultat : Félix Tshisekedi a retourné le piège contre ses auteurs en créant l’Union Sacrée de la Nation, un nouveau socle politique qui a redonné souffle et cohérence à l’action publique.
- L’agression rwandaise:
Deuxième phase : l’entrée en scène du RDF.
Des unités spéciales du Rwanda pénètrent sur le territoire national, sous couvert d’une pseudo rébellion, dans le but de déstabiliser la République.
Résultat : la diplomatie agissante du Chef de l’État met Kigali à nu devant la communauté internationale, poussant le régime de Paul Kagame à une posture défensive et à des contradictions flagrantes.
- L’instrumentalisation du M23-AFC:
Troisième phase : donner un visage congolais à la guerre.
Le Rwanda ayant été démasqué, il fallait désormais “congoliser” le conflit en fabriquant une vitrine politique : l’Alliance du Fleuve Congo (AFC).
Mais là encore, le peuple a compris la manœuvre.
Résultat : l’AFC et le M23 n’ont pas réussi à rallier les Congolais, leur discours sonnant faux face au patriotisme incarné par le Chef de l’État et les FARDC.
- Le réveil du parrain:
Vint ensuite le retour de Joseph Kabila.
Sorti de son mutisme, il aurait, selon plusieurs sources concordantes, financé Corneille Nangaa pour tenter de lui constituer une force armée, après l’anesthésie infligée par Félix Tshisekedi à l’armée rwandaise.
Sa visite à Rumangabo symbolisait cette résurgence.
Résultat : échec cuisant — aucune mobilisation sérieuse, ni militaire ni populaire.
- L’activation des cellules dormantes:
Face à ces revers, Kabila et Kagame décidèrent d’activer des cellules dormantes à Kinshasa : certains généraux félons et criminels de droit commun furent sollicités pour semer le chaos.
Résultat : nouvelle déconvenue.
Les forces de sécurité ont démantelé les réseaux, arrêté les généraux complices, et neutralisé les fauteurs de trouble.
Les criminels livrés à eux-mêmes se sont transformés en simples délinquants urbains, démasquant le fiasco de l’opération.
- Le plan “Sauvons le Congo”:
Dernier acte de cette tragédie politique : le dialogue forcé.
Ayant échoué sur le terrain militaire et diplomatique, le FCC et ses alliés ont tenté de revenir par la fenêtre du pseudo mouvement Sauvons le Congo, concept volé au Bishop Kutinho.
Sous couvert de réconciliation nationale, ils ont tenté d’imposer un dialogue biaisé, sans condamner Kigali, ni reconnaître l’agression étrangère.
Résultat : échec total.
Le peuple congolais, désormais conscient et éveillé, a rejeté ce simulacre, restant fidèle au discours de vérité du Président Félix Tshisekedi.
La riposte patriotique.
Face à cette machination à six têtes, le peuple congolais doit rester uni.
Ce qui se joue ici n’est pas une compétition politique, mais une bataille existentielle pour la survie de la Nation.
Et dans cette bataille, le Chef de l’État a montré la voie : celle du courage, de la lucidité et de la fermeté.
Car si le Rwanda et ses complices avaient réussi à manipuler nos fractures internes, c’est la foi du peuple en son Président qui a déjoué le plan du chaos.
Désormais, la RDC avance avec une conscience nationale renforcée, une armée en pleine reconstruction et une diplomatie respectée.
En Conclusion : Le Congo ne tombera pas!!!
Que le FCC, le M23, l’AFC et leurs parrains étrangers sachent une chose :
Le Congo n’est plus à vendre.
Ce pays, qui a résisté à la colonisation, aux dictatures et aux guerres importées, résistera encore à cette alliance des perdants.
La République est debout, ses institutions tiennent, son armée se bat, et son peuple croit.
Car tant qu’un seul Congolais continuera de se lever pour défendre son drapeau, aucun holding de la trahison ne pourra faire plier la Nation.
Ambassadeur Jean Thierry Monsenepwo
Président du Conseil d’Administration.













